
Un Oui à No Billag n’aurait pas seulement des conséquences désastreuses sur les plans étatique, démocratique, régional, linguistique et médiatique. Si l’initiative était acceptée, elle aurait aussi des répercussions existentielles sur celles et ceux qui travaillent dans la culture et les médias : 13 500 emplois et 1,8 milliards de francs sont en jeu. Une dégradation des conditions de travail feraient aussi baisser la qualité des médias.
L’article complet de Melanie Berner, SSM sur le site de l’USS.